Jerzy Karczmarczuk (GREYC, Caen)

Presque tous les problèmes calculatoires en physique demandent des solutions approchées, ce qui est pénible de plusieurs points de vue, par ex., la gestion des singularités, les dégénérescences, etc. Mais déjà la “surface”, le processus d’algorithmisation qui à partir des formules spécifiant le problème

  • par ex. une équation dynamique engendrée par un Hamiltonien non-linéaire - permet de construire la solution informatique, peut être difficile, et “explosif”.

Souvent c’est la conséquence du fait que la représentation/structure “naturelle” du problème soit co-récursive, une “fuite en avant” algorithmique, dont le codage est délicat. Je montrerai sur quelques très simples exemples de développement asymptotique (surtout dans le domaine de mécanique quantique), comment le faire à l’aide des techniques de programmation paresseuse (Haskell), sans tomber dans le désespoir.