Luc Segoufin (INRIA Rocquencourt)

Une base de donnèe spatiale consiste en un ensemble fini d’objets spatiaux. Ceux-ci sont stockès dans la base sous un format de donnèe (semi-linèaire, semi-algèbrique, etc.) spècifiè par le systême.

Un langage de requÍte sur de telles donnèes doit assurer la reprèsentation du rèsultat dans le format de donnèe de dèpart et essayer de fournir un pouvoir d’expression aussi èleveegrave; que possible tout en garantissant une faible complexitè d’èvaluation (PTime).

Dans cet exposè on partira de la logique du premier ordre dont on prèsentera les limitations en terme de pouvoir d’expression. Puis on montrera que les langages dèrivant des extensions “classiques” du premier ordre ne vèrifient ni la condition de prèservation du format ni la faible complexitè d’èvaluation. Enfin on prèsentera des extensions du premier ordre rèpondant aux critëres prèsentès ci-dessus.